Marine Lemaire, psychologue clinicienne

Marine Lemaire - Pyschologue Thegoodpsy
Marine Lemaire – Pyschologue Thegoodpsy

Je m’appelle Marine, j’ai 24 ans. Je suis psychologue clinicienne et psychothérapeute diplômée depuis 2021 (Master de psychologie clinique – Université de Caen Normandie). Durant mes différentes expériences professionnelles, j’ai eu l’opportunité de travailler auprès d’un public varié, de l’enfant à la personne âgée. Actuellement, j’accompagne sur le plan psychologique des adolescents et adultes au sein d’une association d’aide aux victimes. En parallèle, je développe mon activité libérale.

Quel type de thérapie pratiquez-vous ? 

Mon approche est essentiellement basée sur la thérapie d’orientation analytique, c’est-à-dire que votre parole se retrouve au centre des séances. Cependant, je m’adapte à chaque personne, et propose parfois des outils qui me semblent pertinents pour l’aider à tendre vers une meilleure compréhension d’elle-même. Dans les premiers temps d’échanges, nous allons ensemble formuler l’énigme que vous souhaitez résoudre au cours de la thérapie. Par la suite, je vous accompagnerai dans la résolution de cette dernière. L’intérêt étant que vous puissiez trouver des solutions par vous-même, des clés pour atteindre un mieux-être psychique. L’objectif ultime visé à la fin des séances est que vous ayez toutes les clés en main pour être en capacité d’avancer seul dans votre cheminement personnel.

Quels sont les adjectifs qui vous caractérisent en tant que psy? Pourquoi sont-ils importants selon vous?

Je dirais que je suis une personne empreinte d’empathie, ce qui signifie, qu’importe votre problématique, que je suis à votre écoute et tente de vous comprendre au mieux. Il est important pour moi que vous puissiez vous sentir en confiance afin d’exprimer votre mal-être dans un cadre bienveillant et non jugeant. 

Je suis également de nature collaborative. J’attache une grande importance à la co-construction. C’est pour cela que « je suis une psy qui parle » et que je prend une part active dans nos échanges.

Est-ce qu’il y a une problématique avec laquelle vous êtes plus à l’aise ?

A mon sens, chaque personne est unique, vit chaque événement et y répond de manière singulière. Il m’est donc difficile de mettre en avant une problématique en particulier, d’autant que parfois, nous la découvrons au fur et à mesure de la thérapie. 

D’une manière générale, je dirais que je suis à l’aise sur les problématiques liées au psychotraumatisme, au processus de deuil, aux addictions, aux difficultés relationnelles et aux difficultés scolaires. Mais cela reste une liste non exhaustive.

Selon vous, pourquoi existe-t-il encore autant de personnes qui ressentent un mal être mais qui ne se décident pas à consulter un(e) psy ?

Sauter le pas et choisir d’aller consulter un(e) psy est, je pense, encore quelque chose de tabou à l’heure actuelle. Il y a encore cette notion de « le psy, c’est pour les fous », cette peur d’être jugé si nous choisissons d’aller parler à un professionnel de la santé mentale. Alors que tout mal-être psychique, qu’il soit petit ou grand, mérite que l’on s’y intéresse pour passer outre et aller mieux. A mon sens, cela est lié à la dynamique sociétale, où toute expression d’une émotion, d’un mal-être, quel qu’il soit, sur la scène publique et/ou privé, n’est pas encore très bien vu et recueilli par les autres. Cela évolue progressivement et l’importance du bien-être psychique de chaque individu est de plus en plus considérée. 

Il y a peut-être également une notion d’engagement qui rentre en compte, cette idée que nous n’avons pas la main sur la thérapie, le nombre de séances, leur fréquence. Sur ce point, je peux vous rassurer sur le fait que vous, et vous seul, êtes maître de vos choix et décisions. C’est au psy de s’adapter à chaque personne et à sa demande.

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