F. Coutteure, psychologue Websie

Florence Coutteure

Mariée, deux enfants et un petit fils, je suis psychothérapeute depuis de nombreuses années. Mon expérience professionnelle est variée (consultations , supervisions et animations de groupe ). Je travaille actuellement en structure et en libéral. J’accompagne des adultes, des ados, et des enfants.

Quel type de thérapie pratiquez-vous ? 

Ma clinique est d’orientation analytique. La parole sans censure aucune, libère nos pensées conscientes et inconscientes et permet ainsi de trouver ouvertures et solutions (qui ne nous étaient bien sûr pas apparues auparavant ). Cette ouverture permet aux personnes de se libérer de leurs freins, résistances, ou encore symptômes et souffrances.

Quels sont les adjectifs qui vous caractérisent en tant que psy? Pourquoi sont-ils importants selon vous?

Écoute, empathie et prise en considération de la parole du patient dans sa singularité. Une séance s’anime de part et d’autre, car il s ‘agit d’un travail collaboratif entre le psy et le patient.

J’aime le mot « vivant » car le but du travail thérapeutique est de se sentir vivant. Parfois notre énergie vitale fait défaut, et nous sommes envahis par différentes problématiques, s’en libérer permet de se sentir à nouveau vivant !

Est-ce qu’il y a une problématique avec laquelle vous êtes plus à l’aise ?

J’ai beaucoup travaillé dans le domaine de la parentalité et de la famille. Mais je reste ouverte à toute problématique. Le climat parfois anxiogène de nos vies amène les personnes à venir parler de leurs angoisses et de leurs difficultés à vivre. Toute problématique demande à être entendue, car chaque patient est singulier. Mon travail consiste à amener chaque personne à comprendre ce qui lui arrive et surtout à s’en libérer si cela représente une quelconque souffrance.

Florence Coutteure

Selon vous, pourquoi existe-t-il encore autant de personnes qui ressentent un mal être mais qui ne se décident pas à consulter un(e) psy ?

Je pense que beaucoup de personnes craignent d’être perçues comme « malades »si elles consultent, alors qu’au contraire il s’agit d’un acte courageux et responsable.

D’autres peuvent se sentir coupables ou ressentent une forme de honte à consulter. C’est parfois encore un peu tabou, et peut-être qu’il y a quelques angoisses à explorer notre monde intérieur? Mais encore une fois les freins sont singuliers à chacun. Ce peut être une bonne entrée en matière que de se poser cette question.

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *