P. Portugalli - Psychologue Websie
P. Portugalli – Psychologue Websie

Priscilla Portugalli

J’ai 37 ans, j’ai obtenu un Master 2 en psychologie clinique en 2009 à la faculté de Nice. Je travaille depuis 12 ans dans une institution médico-sociale et je développe en parallèle mon activité libérale par le biais de consultations visio, téléphoniques ou par messages.

Quel type de thérapie pratiquez-vous ? 

Je pratique principalement des thérapies brèves à orientation cognitivo-comportementales (TCC). J’axe ma pratique professionnelle sur le partenariat entre la personne qui consulte et le thérapeute.
C’est une co-construction, un travail d’équipe entre le psychologue qui écoute et prodigue ses
analyses/interprétations et le patient qui livre ses souffrances et son vécu.

L’objectif commun est alors le mieux-être du patient. La confiance est le maître mot car elle va
permettre à la personne de se livrer et d’oser exprimer son mal être.

Est-ce qu’il y a une problématique avec laquelle vous êtes plus à l’aise ?

Je travaille principalement sur des problématiques d’angoisse, de phobies, de traumatismes, de
manque de confiance en soi et propose régulièrement des « tâches à domicile » entre 2 séances pour favoriser l’accélération du travail thérapeutique en donnant des outils pratiques à mettre en place.

Florence Coutteure

Selon vous, pourquoi existe-t-il encore autant de personnes qui ressentent un mal être mais qui ne se décident pas à consulter un(e) psy ?

Bien que la psychologie se soit médiatisée et que la représentation sociale d’un suivi thérapeutique ne soit plus considérée comme être « pour les fous », certaines personnes hésitent encore à franchir
le cap de consulter, laissant alors une situation problématique s’enkyster. Le fait de consulter rapidement permet de réduire le nombre de séances et ainsi d’accélérer le processus de guérison.

D’autres peuvent se sentir coupables ou ressentent une forme de honte à consulter. C’est parfois encore un peu tabou, et peut-être qu’il y a quelques angoisses à explorer notre monde intérieur? Mais encore une fois les freins sont singuliers à chacun. Ce peut être une bonne entrée en matière que de se poser cette question.

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