Cassandre Baillon, psychologue clinicienne

Cassandre Baillon – Psychologue Thegoodpsy

Je suis Cassandre Baillon, psychologue clinicienne. Je suis diplômée d’un Master 2 en Sciences Psychologiques à finalité psychologie clinique et psychopathologie au sein de l’Université Libre de Bruxelles.

Au cours de mon parcours universitaire, je me spécialise très rapidement dans la médiation animale, l’utilisation des animaux dans les thérapies pour les personnes mais aussi dans l’autisme.

Dans ma pratique actuelle, j’utilise également des techniques de respiration, de relaxation et de médiation de pleine conscience. Dans les thérapies que je propose, je tiens à créer un espace de non jugement et de confiance mutuelle dans lequel tout peut se dire et se ressentir.

Quel type de thérapie pratiquez-vous ? 

Mon approche thérapeutique est celle de la psychothérapie intégrative. Cela signifie que je n’appartiens pas à une approche en particulier mais que je me nourris de ce que chacune a pu m’apporter et me construire en tant que professionnelle. 

L’approche intégrative prend en compte l’ensemble des dimensions d’une personne, que ce soit à un niveau comportemental, émotionnel, spirituel, corporel, affectif et relationnel. Chacune de ces parts est envisagée comme un tout dont la recherche d’un l’équilibre est l’objectif. L’objectif thérapeutique consiste en une recherche d’équilibre psychique et physique, en la redécouverte d’une harmonie, d’un sentiment de sécurité intérieure. La mise en lumière des ressources internes propres à chacun est ainsi fondamentale.

Quels sont les adjectifs qui vous caractérisent en tant que psy? Pourquoi sont-ils importants selon vous?

Je dirais que l’écoute, la bienveillance, l’empathie, et le non-jugement sont des qualités fondamentales pour moi dans ma pratique clinique.

Rencontrer un psychologue est une vraie démarche personnelle qui demande du courage, un engagement. En effet, il n’est pas toujours facile de prendre conscience que nous n’allons pas bien, qu’un comportement nous dérange, qu’une parole nous blesse. Pouvoir identifier ces ressentis, ces émotions est la première étape d’un processus de transformation. C’est la première étape que l’on effectue en thérapie, prendre conscience de ce qui nous est difficile.  

Il est ainsi pour moi essentiel d’accueillir cela avec une écoute bienveillante. Il est fondamental que le patient puisse se sentir en confiance dans cet espace qui est le sien et que nous créons ensemble.

Est-ce qu’il y a une problématique avec laquelle vous êtes plus à l’aise ?

J’apprécie la pluralité des problématiques que l’on peut rencontrer au sein de notre pratique clinique. Je privilégie une clinique du sujet, dans laquelle la personne est au centre de la prise en charge et des préoccupations du clinicien. Une clinique du cas par cas dans laquelle la généralisation a peu de place possible. 

Je peux ainsi accompagner les personnes pour différentes problématiques comme le stress, l’anxiété, la dépression, le manque de confiance en soi, la perte d’estime de soi, le deuil, les conflits et les difficultés relationnelles, le burn-out et la souffrance au travail mais aussi les problématiques liées au harcèlement à l’école, au travail ou encore à l’université.

Selon vous, pourquoi existe-t-il encore autant de personnes qui ressentent un mal être mais qui ne se décident pas à consulter un(e) psy ?

Les représentations concernant le fait d’aller voir un psychologue sont nombreuses. 
Rencontrer un psychologue est souvent difficile ou parfois vu comme un aveu de faiblesse, on peut se juger en pensant que l’on n’est pas capable de “Faire seul”. 

Pourtant, chaque personne peut un jour être amenée, face à un événement de vie, un passé douloureux qui ressurgit ou toute autre raison, à ressentir le besoin de faire appel à un professionnel. Il est en effet tout à fait normal d’avoir parfois besoin d’un autre pour prendre soin de soi, pour nous aider à sortir de tourments difficiles ou pour apprendre à mieux se connaître.
Être guidé par quelqu’un d’extérieur n’enlève rien à nous-mêmes, à nos capacités, nos forces.
Le psychologue est là pour accompagner, il se place à côté du patient, dans un rapport de confiance réciproque. C’est bien le patient qui effectue le travail thérapeutique. C’est lui qui sait, qui détient les clés de son mieux-être.

J’aurais envie de transmettre aux patients qu’ils peuvent être fiers de faire d’eux une priorité pour tenter de retrouver un équilibre harmonieux au sein de leur vie. 

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